On a beau être le plus attentionné possible, ça pousse. Nous ne sommes pas assez nombreux, c’est pour ça. Avant, dans le temps, il y a quinze ou vingt ans, juste après la fermeture, il y avait toujours quelqu’un qui venait tondre. Maintenant, il y a juste moi. Mais j’ai vingt ans de plus, ça devient plus compliqué. Momo, il peut plus. Cassé en deux, Momo. Alors il reste sur sa chaise à attendre.